Optez pour les stickers

Les stickers sont les premiers choix des amateurs de véhicules customisés. Ces accessoires de décoration sont à coller directement sur la peinture de base du véhicule. Vous avez la possibilité de les appliquer n’importe où selon vos envies sans en faire trop. Vous allez rendre votre voiture unique avec la pose de sticker. Il suffit de choisir les modèles de stickers qui conviennent à votre véhicule. Vous pouvez par exemple opter pour un sticker en polymère vinyle pour une lunette arrière légèrement courbée.

Améliorez les jantes et les phares

La personnalisation de jantes va permettre de donner une allure sportive à la voiture. Vous pouvez alors confier vos anciennes jantes à un professionnel pour qu’il les améliore. Sinon, il est conseillé d’acheter de nouvelles jantes chromées. En plus des jantes, il y a aussi les phares qui peuvent être améliorés. Il suffit de garder les veilleuses blanches ou jaunes pour éviter les problèmes. Pour les phares proprement dits, les « angel eyes » sont les plus recherchées sur le marché.

Pensez à l’intérieur du véhicule

À l’intérieur, vous pouvez miser sur la pose d’un nouveau couvre-volant. Cet accessoire va servir d’élément de personnalisation, mais aussi de protection pour le volant. Vous avez un large choix sur les styles sportifs. Vous avez aussi la possibilité de revoir la couverture des sièges du véhicule. À cela s’ajoute l’achat d’un nouveau tapis de véhicule. Il est tout à fait possible de synchroniser la couleur de ces éléments pour obtenir un meilleur effet design.

Boostez le niveau sonore et vidéo

Il ne faut pas négliger les systèmes vidéo et audio du véhicule pour assurer sa personnalisation. Ici, la pose d’un lecteur DVD ou BluRay est un choix très intéressant. Cet accessoire peut être relié à l’animation des sièges arrière du véhicule. Par ailleurs, vous avez la possibilité d’ajouter des systèmes stéréo haut de gamme si vous avez les moyens. Cela est aussi valable pour l’ajout de « subwoofers » et d’amplificateurs dans le coffre.

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Tuning moto : les influenceurs sur Instagram à suivre

Instagram constitue un océan de contenus où vous pouvez tomber sur des vidéos de tuning moto intéressantes. Vous pouvez d’ailleurs suivre les comptes de quelques influenceurs si vous êtes en quête d’inspiration. Parmi eux, il y a :
• Biker Juju : vous serez captivé par sa créativité débordante. La touche personnelle qu’il a donnée à sa Yamaha MT-10 ICE FLUO pourrait piquer votre curiosité.
• Frere’o’Stand : voilà un autre passionné qui n’hésite pas à partager sur la plateforme les accessoires pour moto importants et indispensables. Il y fournit aussi des conseils judicieux concernant ce type de véhicule.
• Dukemotorcycles : la customisation, c’est son point fort. Il sait comment métamorphoser une moto en une oeuvre d’art qui peut circuler. Il a un talent exceptionnel lui permettant de sculpter le métal et le cuir pour donner à chaque engin une touche unique.

Ce ne sont que quelques exemples des profils Instagram que vous pouvez consulter. N’hésitez pas à surfer sur ce réseau social pour en trouver d’autres qui peuvent vous inspirer.

Le téléchargement des vidéos sur Instagram

Grâce à Instagram, les influenceurs doués de tuning et de conduite de moto venant des 4 coins du monde peuvent partager leur passion à leurs abonnés. Plutôt que de simplement liker leurs contenus, vous avez la possibilité de les approfondir. Pour ce faire, servez-vous d’un téléchargeur de vidéos. Rendez-vous sur la page comportant l’image ou la vidéo qui vous intéresse et copiez son URL. Allez ensuite sur la plateforme d’Instagram download et collez le lien sur l’espace dédié à cela. Puis, appuyez sur  » Téléchargement  » à droite. Vous obtiendrez, à la fin de ces quelques étapes, une vidéo Instagram de qualité. Vous pouvez aussi choisir le format vidéo parmi les options proposées par l’outil Instagram download.

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Éliminer les rayures superficielles

Une rayure superficielle aussi appelée microrayure désigne une rayure qui ne touche que le vernis de la voiture. Afin de les gommer, vous pouvez avoir recours à des astuces de grand-mère comme le dentifrice ou la cendre de cigarette. Ou aussi à des produits destinés pour traiter les rayures superficielles comme les effaces-rayures ou le polish.
Le dentifrice permet de retrouver facilement l’état d’origine de votre carrosserie rayée. Pour l’utiliser, vous devez appliquer de la pâte à dentifrice sur la rayure et d’essuyer la zone avec un torchon.
Les cendres de cigarette sont très efficaces pour effacer les microrayures. Vous devez saupoudrer un chiffon légèrement humide roulé en tampon avec des cendres de cigarette, puis de l’appliquer sur les rayures.
L’efface-rayure est souvent une sorte de pâte vendue en tube. Versez une noisette sur un chiffon doux ou un coton, puis frottez-le doucement sur la surface concernée.
Le polish ou lustreur est un produit qui dévoile une nouvelle couche de peinture en dévorant la première. Il restaure, protège et fait briller la carrosserie. Versez le produit sur un chiffon microfibre, et appliquez-le sur les rayures en faisant des petits mouvements circulaires et délicats.

Éliminer les rayures profondes

Les rayures profondes sont généralement difficiles à éliminer, or elles doivent être traitées le plus tôt possible, car la rouille peut s’y installer et endommager sérieusement votre carrosserie. Dans le cas où l’enduit appliqué avant la peinture serait touché, vous devez appliquer au plus vite de l’antirouille.
Afin de traiter les rayures profondes, vous pouvez utiliser un stylo correcteur aussi appelé stylo anti-rayure de la même couleur que celle de votre carrosserie. Vous devez d’abord lisser la rayure en utilisant un papier de verre, après avoir enlevé la poussière, peignez la rayure méticuleusement, puis laissez sécher.
L’application de peinture peut aussi être envisagée en cas de rayure profonde. Le procédé est le même que pour les stylos anti-rayures. Toutefois, faites attention à ne pas dépasser, et si c’est le cas, enlevez vite la peinture à l’aide d’un coton-tige.

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Les signes qui révèlent qu’il est temps de changer de batterie

Avant de songer à changer de batterie, vous devez vérifier qu’elle présente bien des signes de faiblesse.

Le premier signe qui devrait vous mettre la puce à l’oreille est un démarrage lent. En effet, si le démarreur fonctionne correctement, le démarrage lent peut indiquer que la batterie est HS.

Le deuxième point de vigilance est le voyant lumineux rouge s’allumant sur le tableau de bord de votre véhicule. Ce voyant vous révèle qu’il faut recharger la batterie. Après la recharge, tout devrait retourner à la normale. Si vous notez que la recharge n’a rien changé à la situation, l’achat d’une nouvelle batterie est nécessaire.

Un autre signe révélateur est la faible luminosité de vos phares. Quand la batterie est HS, les phares ne s’allument même pas.

Dernier point indiquant la nécessité de changer de batterie est le gonflement du boitier de la batterie.

L’achat d’une batterie

Avant de passer à l’achat, vous devez prendre en compte :
– des dimensions (largeur, longueur, hauteur) de la batterie : la nouvelle ne doit pas être plus grande/petite que l’ancienne.
– de l’ampérage : elle doit correspondre aux besoins de votre voiture à essence ou au diesel.
– du type d’accumulateur : les batteries au plomb sont faibles et moins chères. Celles avec des liquides améliorés sont plus durables. Si votre véhicule utilise une batterie AGM, tournez-vous vers le même modèle, car il est plus performant que les 2 autres types cités auparavant.
– de la marque : optez pour des marques reconnues.

Si vous avez du mal à choisir votre nouvelle batterie, rapprochez-vous d’un professionnel tel qu’un mécanicien pour vous accompagner dans votre achat. Il peut vous conseiller sur les caractéristiques que doit avoir l’appareil et peut également effectuer le remplacement lui-même.

Changer de batterie sans perdre ses données

Remplacer la batterie de sa voiture n’est pas une tâche compliquée. Ceci étant, si le bricolage est loin d’être votre fort, laissez un professionnel s’en charger. Si vous voulez vous y prendre seul, sans l’aide d’un expert, vous avez besoin d’une pile 9V ou d’un boîtier de sauvegarde, de pinces, de scotch ou chatterton.

1. Avant d’enlever la batterie usagée, éteignez la voiture et tous ses appareils électroniques.

2. Reliez ensuite la pile 9V aux cosses de la batterie en vous assurant de ne pas intervertir les bornes – et +. Utilisez le scotch pour bien maintenir les fils en contact. Cette action va permettre de maintenir l’alimentation lorsque vous allez retirer la vieille batterie. Vos données seront ainsi intactes. Si vous disposez d’un boîtier de sauvegarde, vous n’avez pas besoin de la pile. Vous devez juste brancher le boitier sur l’allume-cigare.

3. Ces étapes effectuées, vous pouvez désormais débrancher et enlever la batterie usagée.

4. Branchez la nouvelle batterie tout en conservant les fils de la pile 9V ou en gardant le boîtier de sauvegarde branché.

5. Une fois la nouvelle batterie placée et branchée, vous pouvez débrancher la pile 9V ou le boitier de sauvegarde.

Ces étapes peuvent paraître simples, mais si vous n’êtes pas consciencieux, vous pouvez manquer une étape et perdre vos données. D’ailleurs, pour vérifier que vos données sont intactes, démarrez le moteur et testez l’heure et l’autoradio. Si rien n’est changé, c’est que vos données sont bien sauvegardées.

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La sensation de puissance : des voitures puissantes sur des circuits renommés

Sur un circuit automobile, l’excès de vitesse est la norme. Dessus, vous êtes en mesure d’appuyer délibérément sur les pédales : personne ne vous réprimandera, car le but est justement d’aller vite, très vite. En plus, la sécurité des pistes permet cette vitesse. Vous ne risquez pas de rouler à tombeau ouvert. C’est vrai qu’on ne devrait pas écarter l’éventualité d’un accident. Mais tout est fait pour que vous en ressortiez indemne : vous portez des équipements de protection et les voitures de sport sont aménagées spécialement pour limiter les dommages corporels. Bref, offrez-vous un stage de pilotage qui se déroule entièrement sur circuit si vous êtes passionné de vitesses et de voitures de sport. Vous serez au volant d’une puissante sportive et vous filerez à toute allure sur des pistes complexes. Il y a de quoi ressentir une espèce de toute-puissance, car avec la vitesse à laquelle vous filez, vous défiez les éléments, la Nature et les lois de la physique !

Des instructeurs riches en savoir et en expertises techniques

On vous rassure toutefois : vous n’êtes pas seul dans la voiture. Du moins, vous pouvez décider de conduire en solitaire si vous avez un excellent niveau. Si vous êtes débutant, faites le choix d’un accompagnement. Les organisateurs de stages de pilotage sur circuits travaillent avec des instructeurs, moniteurs et coachs professionnels. Beaucoup ont été pilotes par le passé avant de passer un diplôme de moniteur de pilotage. En clair, vous êtes entre de bonnes mains.

Stage de pilotage sur circuits : une expérience sur mesure à des prix honnêtes

Comme on l’a fait remarquer précédemment, quel que soit votre niveau, il y a une offre pour vous sur un stage de pilotage sur circuit. Mais, ne l’oubliez pas : vous êtes à ce stage pour apprendre, découvrir, vous initier et vous perfectionner, et ce, dans un esprit de divertissement avec, en prime, une sensationnelle poussée d’adrénaline. Enfin, on ne vous impose pas la voiture que vous allez conduire : vous la choisissez.

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1. La carte grise

Pour commencer, il est important de vérifier si votre carte grise est à jour ou non. Autrement dit, vous devez veiller à ce que le certificat d’immatriculation soit au nom et à l’actuelle adresse du vendeur. Dans le cas échéant, il est nécessaire de vous rendre sur le site de l’ANTS (Agence nationale des titres sécurisés) pour mettre à jour les informations. Avec l’ancien modèle de carte grise, il vous faut encore barrer le certificat d’immatriculation, y écrire « Vendu le jour/mois/année/heure » et mettre votre signature. Pour ce qui détient le nouveau modèle de carte grise, il n’a simplement qu’à remplir le coupon détachable et y inscrire les nom et prénoms de l’acquéreur tout en rayant aussi la carte grise.

2. Le contrôle technique

Le procès-verbal du contrôle technique de la voiture est aussi parmi les documents que vous devez détenir pour pouvoir vendre votre quatre-roues. Notez que ce contrôle technique doit être récent, c’est-à-dire daté de moins de 6 mois. Sur ce document, on peut y voir les caractéristiques de l’auto, le kilométrage et les potentielles défaillances. Si vous voulez avoir votre contrôle technique sans encombre, il est judicieux de vous adresser à votre garagiste. Ce dernier sait vous indiquer les réparations nécessaires à faire. Il faut aussi vous faire remarquer que l’acheteur peut également vous demander le carnet d’entretien ou les factures relatives à votre véhicule.

3. Le certificat de non-gage

Comme son nom nous laisse déjà entendre, ce document est la preuve que votre voiture n’est pas mise en gage. Vous pouvez avoir ce certificat en consultant le site HISTOVEC. Sur cette plateforme, vous pouvez avoir des informations sur les anciens propriétaires de la quatre-roues, la mise en gage ou encore son apposition. Pour accéder à ce site internet, vous devez avoir tout simplement votre carte grise. Mais il faut faire attention, le certificat de cession administrative doit être daté de moins de 15 jours avant la signature de la vente.

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Économie d’argent grâce au covoiturage

L’une des caractéristiques les plus attrayantes du covoiturage réside dans sa capacité à générer des économies financières significatives. En partageant les frais de carburant et de péage, les coûts liés aux déplacements sont nettement réduits pour chaque passager.
Pour le conducteur également, cela représente une diminution des dépenses puisque les frais sont divisés entre tous les occupants du véhicule. De plus, avec la possibilité d’obtenir son permis en ligne stych, le covoiturage devient encore plus accessible et pratique, simplifiant ainsi l’organisation des trajets partagés.

Un geste pour l’environnement

Outre les économies réalisées, le covoiturage est également bénéfique pour l’environnement. En effet, en réduisant le nombre de véhicules en circulation, il contribue à diminuer les émissions polluantes et la consommation de ressources naturelles. Les émissions de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement climatique, sont ainsi réduites, tout comme la pollution atmosphérique locale.

Moins de trafic sur les routes

Le covoiturage permet également de réduire le trafic routier, ce qui se traduit par une diminution des embouteillages et une meilleure fluidité de la circulation. En limitant le nombre de voitures sur les routes, on diminue les risques d’accidents et on améliore la qualité de vie des riverains, qui subissent moins de nuisances sonores et de pollution.
De plus, cela facilite l’accès aux zones urbaines pour les personnes ne disposant pas de leur propre véhicule.

Une solution conviviale et solidaire

Le covoiturage est une pratique qui favorise la convivialité et l’échange entre les individus. Les trajets partagés sont souvent l’occasion de faire connaissance avec d’autres personnes et de partager des centres d’intérêt communs. Cette dimension sociale peut rendre les déplacements plus agréables et moins stressants, surtout lorsqu’ils sont effectués régulièrement.
Le covoiturage peut également être un excellent moyen de lutter contre l’isolement, notamment pour les personnes âgées ou celles qui habitent dans des zones rurales mal desservies par les transports en commun. En permettant à ces personnes de se déplacer plus facilement et en leur offrant un réseau social, le covoiturage contribue à améliorer leur qualité de vie.

Les avantages pour les conducteurs

Le covoiturage présente également des bénéfices spécifiques pour les conducteurs. En partageant les frais liés au trajet, ils peuvent rentabiliser l’usage de leur véhicule et réduire leurs dépenses mensuelles. De plus, la présence de passagers peut rendre le voyage plus agréable et moins monotone que s’ils étaient seuls au volant.
De plus, en transportant plusieurs passagers, les conducteurs peuvent accéder aux voies réservées au covoiturage, ce qui peut considérablement réduire les temps de trajet, surtout dans les zones congestionnées.
De plus, en optant pour le covoiturage, les conducteurs profitent d’une meilleure utilisation de leur véhicule, qui ne reste pas inactif pendant les périodes où ils n’en ont pas besoin. Cela permet notamment d’éviter l’achat d’un second véhicule pour les couples ou les familles dont les membres ont des horaires de travail différents.

Pourquoi choisir le covoiturage ?

En résumé, le covoiturage est une solution de mobilité qui présente de multiples avantages :
● Économies : les coûts liés aux déplacements sont partagés entre les occupants du véhicule, ce qui permet de réduire les dépenses pour chaque passager et le conducteur.
● Environnement : en limitant le nombre de voitures en circulation, le covoiturage contribue à diminuer les émissions polluantes et la consommation de ressources naturelles.
● Convivialité : les trajets partagés sont des moments d’échange et de rencontre qui peuvent rendre les déplacements plus agréables.
● Solidarité : pour les personnes isolées ou habitant dans des zones mal desservies, le covoiturage peut être un moyen efficace de se déplacer et de rompre l’isolement.
Ainsi, que l’on soit conducteur ou passager, le covoiturage apparaît comme une solution avantageuse pour réaliser des économies, préserver l’environnement et profiter d’une expérience conviviale lors de ses déplacements. En optant pour le covoiturage, vous optez pour une solution gagnant-gagnant, pour vous, la société et la planète. Alors, joignez-vous au mouvement et profitez des multiples bénéfices qu’il offre !

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Les week-ends de course

C’est une compétition très suivie d’après ce blog. Chaque course d’IndyCar Series se déroule le dimanche après-midi. Une séance d’essai est offerte aux pilotes dans la journée du vendredi. Une seconde se fait le samedi matin. Les qualifications se font dans l’après-midi. Le Warm-Up est programmé dans la matinée du dimanche avec une séance de roulage dans les conditions de course. Cela peut se faire un samedi soir dans des cas exceptionnels. Deux jours de courses sont programmés pour les Double-Header (samedi et dimanche après-midi).

Les arrêts aux stands

Les membres d’équipage admis pour chaque arrêt aux stands sont limités à 7 personnes en IndyCar Series. L’équipe est formée par les techniciens suivants :
•4 mécaniciens pour les pneus
•1 ravitailleur
•1 pour la prise d’air
•1 pour soulever le véhicule
•1 assistant pour les Tear-Off ou le nettoyage du casque du pilote
Le ravitailleur a 10 secondes pour faire le plein du véhicule à chaque arrêt aux stands. Il faut 70 L de carburant pour cette opération.

Les barèmes pour les points

Tous les pilotes obtiennent des points en IndyCar. Le premier en gagne 50 contre 40 pour le second. Le troisième se contentera de 35 points. Les derniers pilotes peuvent gratter 5 points. Un point bonus est offert pour la pole position. Un point est aussi donné à celui qui mène pendant un tour. Ce sera deux points pour celui qui mène le plus de tours pendant la course. Les points sont doublés pendant la finale du championnat ainsi que pour les 500 Milles d’Indianapolis.

Les drapeaux et le Pace Car

Le moindre incident suffit pour montrer le drapeau jaune sur un circuit ovale. La Pace Car doit alors intervenir rapidement. Le drapeau vert sert à relancer la course normale. Cela indique que la Pace Car n’est plus sur le circuit. Cette voiture de sécurité doit, par exemple, intervenir pour enlever une voiture accidentée. Son intervention suffit pour regrouper le peloton et resserrer au mieux les positions des coureurs.

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Une sélection des nouvelles motos électriques

Les motos électriques ne sont pas encore très nombreuses sur les routes. Mais elles commencent à prendre du terrain parce qu’elles présentent de nombreux atouts. Par exemple, vous pouvez rouler en milieu urbain avec les deux-roues électriques et voyager avec. Une moto vous promet une expérience unique, même en version électrique.

Dans la catégorie des motos électriques équivalentes 50 cm3, il y a la Super Soco TS 1200R. Elle est capable de développer 2200 Watts de puissance, son moteur vient de chez Bosch. Elle peut aller jusqu’à 45 km/h. Sa batterie a une capacité de 1,56 kWh qui permet une autonomie de 65 km. Toujours dans cette catégorie, il y a Easy-Watts E-Roadster dotée d’une autonomie de 70 km grâce à sa batterie de 1,8 kWh.

Le seul hic de cette moto -qui ressemble à un jouet- c’est que sa batterie lithium-ion est fixée. Pour la recharger, vous devez vous garer près d’une prise de courant. Sa vitesse maximale est également de 45 km/h. Dans la catégorie des deux-roues électriques équivalents 125 cm3, Easy-Watts E-Roadster Max est un excellent choix.

Son moteur possède une puissance de 4000 Watts et sa batterie de 2,8 kWh permet de faire 70 km de trajet. Elle est disponible avec un permis A ou B et peut atteindre les 80 km/h. Horwin CR6 est un autre modèle intéressant, doté d’un moteur de 6,2 kW et un couple de 260 Nm. Elle peut atteindre 92 km/h et son autonomie est de 150 km.

Quelle moto électrique allez-vous choisir ?

Si vous avez toujours été passionné par les motos, vous vous demandez sans doute quel modèle électrique adopter. Certes, vous n’entendrez plus le puissant ronronnement du moteur de votre engin, comme c’est le cas de toutes les motos électriques. Mais à côté, vous avez tous les avantages : économie, presque zéro pollution, moins d’entretien, etc. Il est évident que les avantages l’emportent largement sur les quelques inconvénients.

Alors, qu’allez-vous choisir ? Pourquoi ne pas opter pour les motos Alrendo ? La TS Bravo est un excellent modèle et dont la vitesse maximale peut atteindre les 135 km/h. Cette moto d’une puissance de 58 kW pèse 200 kg et elle a une autonomie de 150-419 km.

Tout dépend de la vitesse à laquelle vous roulez. Une autre moto électrique moins chère, c’est Ebroh Bravo GLS. Même si sa puissance ne fait que 5 kW, vous pouvez atteindre les 120 km/h avec. Elle a un petit poids de 147 kg et son autonomie est de 100 km.

Si vous voulez une moto encore plus légère, le modèle Elmoto Loop est pour vous car elle pèse seulement 58 kg. Sa puissance est aussi moindre, 2 kW, et son autonomie est de 80 km. Une autre moto électrique qui peut vous plaire, c’est eRockit. Elle a une puissance de 16 kW et d’une autonomie de 120 km.

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1. Tenir compte de son application

On retrouve les roulements dans plusieurs domaines, à savoir Agriculture, domestique, industries, machines et véhicules. Cela signifie qu’ils ont de diverses applications. Ainsi, vous devez tenir compte de ce critère lors du choix de la pièce.

2. Considérer la vitesse de rotation

Il faut savoir que les roulements à billes peuvent tolérer des vitesses élevées, mais pas des charges importantes. À côté, les roulements à rouleaux quant à eux peuvent soutenir des charges assez importantes, mais pas de vitesses supérieures. En effet, la vitesse maximale d’un roulement est conditionnée en quelque sorte par la température de fonctionnement. Cette limite de vitesse varie en fonction d’un certain nombre de facteurs, dont le type de roulement, la charge appliquée, la grandeur de charge, la configuration de la cage, la classe de tolérance ou encore le jeu de travail.

3. S’attarder sur la charge supportée

On peut distinguer deux types de charges pouvant être supportés par les roulements, à savoir la charge dynamique de base et la charge statique. Concernant la charge dynamique, celle-ci renvoie à la charge maximale admissible du roulement afin d’atteindre une longévité à peu près à 1 million de tours. Quant à la charge statique, cela concerne le roulement stationnaire correspondant à une contrainte de contact calculée entre le corps roulant au contact le plus lourd.

4. Regarder la durée de vie du roulement

Lors du choix d’un roulement, la durée de vie a toute son importance. Il s’agit du nombre de tours ou d’heures de fonctionnement pouvant être effectué par cette pièce avant l’apparition des premiers signes de fatigue.

5. Vérifier sa tolérance

Les roulements qui sont aujourd’hui commercialisés sur le marché ont été normalisés suivant les normes ISO. La plupart des roulements sont donc en général de la classe de tolérances P0.

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